Sex, droïds & rock n’roll: chroniques fugitives pour Lyon Capitale

J’ai été branché par Lyon Capitale au printemps 2007, pour écrire des petites chroniques d’humeur. La demande expresse du rédac chef était que ces chroniques soient « libertines ». Je suppose qu’il voulait surfer un peu sur la notoriété de « Nick », le croqueur de souris sur le Net. Mais bon, en ce qui me concerne, reparler ENCORE de cul, je n’étais pas très chaud.. Mon blog remonte à 2005, mon livre aussi, et je n’ai aucune envie d’être étiquetté à vie « le niqueur du Net », simplement parce-que j’ai raconté une période très spécifique d’un 1 an de ma vie, où effectivement j’ai pas mal trempé mon canelloni. Mais bon, maintenant ça va aller, j’ai d’autres ambitions littéraires ou créatives!

Il faut dire aussi que j’étais censé plus moins pourvoir au départ du chroniqueur précédent, dont la chronique axée gay/people/scènes de backroom/namedropping et mondanités, n’était pas du tout dans mon registre. Clignez des paupières.

Bref, j’ai écrit 6 chroniques, mais plutôt sur un angle « j’observe avec malice et un poil d’humour noir, les petites conneries du quotidien ». J’ai tenté de glisser un peu de « libertin » dans la Chronique 3, mais en m’abritant derrière les posts d’autres personnes de mon Forum JNSM.

Ce qui m’intéresse vraiment, c’est d’observer les effets secondaires et pervers des nouvelles technologies sur les relations humaines et sociales. Et d’en imaginer de nouveaux, qui sont latents et arriveront sous peu.

Donc à l’usage, ça ne l’a pas fait, et ni eux ni moi n’étions vraiment à l’aise. End of story à la 6e chronique.

Pas grave, j’aime pas jeter, alors mes chroniques je les mets ici, sur mon blog. Na!